Archive de avril 2017

L’exposition Remise en jeu

jeudi 27 avril 2017

 

L’exposition Remise en jeu qui s’est déroulée à l’Hôtel Pasteur du 7 au 23 avril 2017 présentait les productions de l’artiste Clémence Estève, des enfants de la classe de CM1 de l’école élémentaire Torigné et des enfants ayant participés aux ateliers périscolaires avec l’artiste. Elle est venue conclure la résidence de création et de transmission menée par l’artiste à l’école élémentaire Torigné, en partenariat avec l’Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives) et en lien avec le chantier de fouilles de l’Hôtel-Dieu.

Le projet a donné lieu à la production d’une exposition, une édition papier et un jeu vidéo disponible dans la rubrique la Fabrique du blog Correspondances de La Criée [https://correspondances.la-criee.org/la-fabrique/jouer-remise-jeu/?section=41].

L’exposition révélait des photographies de vrais vestiges découverts sur le chantier de fouilles mêlées à de faux vestiges réalisés par les enfants. Elles étaient présentées sur des panneaux de plexiglas lestés dans des pains d’argile. S’inspirant de la scénographie développée par l’architecte brésilienne Lina Bo Bardi au musée d’Art de São Paulo en 1968, l’artiste proposait aux visiteurs de déambuler dans cette installation. Le parcours de l’exposition commençait par un stand parapluie révélant un masque. Au dos, le visiteurs pouvaient regarder de faux ex-voto réalisés par les enfants en périscolaire et un fac-similé de l’Inrap. Un autre stand parapluie venait clore la visite par une bouche. Derrière celle-ci, on pouvait écouter au casque l’histoire de ces faux vestiges à travers la voix des enfants.

Intitulée Remise en jeu (2), l’édition conçue par l’artiste et le graphiste Lohengrin Papadato valorise les productions des enfants qui n’ont pas été introduites dans l’exposition. Elle se présente comme un livret proposant une exposition fictive. Déplié, le livret se transforme en poster avec un photomontage de l’artiste réalisé à partir des faux vestiges des enfants.

Le troisième et dernier volet est un jeu vidéo conçu par Romain Renault et Julien Delampe. Le jeu propose de « jouer le jeu » de l’artiste et de créer une sculpture en mêlant vrais vestiges issus du chantier de fouilles de l’Hôtel-Dieu et objets du quotidien.

Vernissage de l’exposition Remise en jeu

jeudi 27 avril 2017

 

La restitution du projet de création et de transmission Remise en jeu de l’artiste Clémence Estève a pris la forme d’une exposition à découvrir entre le 7 et le 23 avril au deuxième étage de l’Hôtel Pasteur. Le projet s’est décliné en trois volets : une exposition, une édition et un jeu vidéo disponible dans la rubrique la Fabrique du blog Correspondances de La Criée.

Le vernissage de l’exposition Remise en jeu s’est déroulé le 6 avril 2017. Pour cette occasion, les élèves de la classe de CM1 de Maud Brient ont formé un cortège munis des gilets orange de l’Inrap, de petits fanions et de deux banderoles crées pour l’évènement. Les enfants étaient accompagnés de leurs parents pour découvrir l’exposition finalisant la résidence de Clémence Estève dans leur école. Ils avaient également préparer un petit discours pour remercier tous les partenaires du projet et en particulier l’artiste.

En véritable « ambassadeurs » du projet, les enfants ont révélé à leurs parents comment ils ont contribué à l’élaboration de l’exposition à travers les ateliers menés avec l’artiste entre septembre 2016 et avril 2017.

 

Donald Woods Winnicott, Jeu et réalité, 1971

mercredi 26 avril 2017

Dans son exposition Félicia Atkinson installe une sculpture qu’elle nomme Ami(e) .

Celleci est le double un peu déformé d’une petite sculpture instantanée, réalisée quelques mois avant l’exposition. Il s’agit ici d’un passage à une autre dimension, celle du rêve et de « l’espace potentiel », comme dirait le psychanalyste pour enfants Donald Winnicott.

Ami(e) n’est pas complètement un personnage imaginaire et pas complètement un rocher. De ses tiges en fer se déploie une longue tresse nouée de différents morceaux de soie, de laine et de feutre qui s’échappe au milieu de la salle.

Ami(e) est une sculpture : c’est-à-dire un peu des deux, partageant la fantaisie de l’un et le sens de gravité de l’autre, sans genre ou espèce établis.

Ami(e) pourrait avoir pour ami(e) une sculpture de Franz West, Phyllida Barlow ou de Noguchi aussi bien qu’une roche de la côte bretonne ou du parc naturel de Joshua Tree en Californie.

Qui est Donald Winnicott ? Quel sont ces objets transitionnels?

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Né en 1896 à Plymouth, décédé en 1971.

Pédiatre et psychanalyste britannique,Winnicott est l’auteur de Jeu et réalité paru en 1971. Cet essai prend pour point de départ un article que l’auteur a consacré aux «objets transitionnels». L’auteur y présente une conception du jeu comme une capacité à créer un espace intermédiaire entre le dehors et le dedans. Cette capacité ne s’accomplit pas dans les jeux réglés, agencés comme des fantasmes ou des rituels, mais elle se situe à l’origine de l’expérience culturelle. À partir de la consultation thérapeutique des enfants, Winnicott développe une théorie psychanalytique de l’ «objet transitionnel» qui s’invente, se cherche et se trouve renouvelant notre perception du réel, de nous-même et de l’autre : l’espace potentiel.

Pendant les premières semaines, l’enfant vit dans un état de toute puissance magique. Pour renoncer à cette omnipotence, et reconnaître l’existence de la réalité extérieure distincte, il va fabriquer, concevoir entre l’interne et l’externe une aire intermédiaire qui n’appartient ni à l’un ni à l’autre. C’est l’espace transitionnel – ou potentiel-. Une des manifestations de cet espace sera l’objet transitionnel, dont on peut distinguer plusieurs caractéristiques : c’est un objet matériel (et non un fantasme ou une hallucination), réconfortant pour l’enfant. Il a une consistance. Ce qui est transitionnel, ce n’est pas l’objet lui-même mais son utilisation. Sa fonction est de représenter le passage entre la mère et l’environnement, de rétablir la continuité menacée par la séparation. L’objet transitionnel ne doit pas être changé par l’extérieur, et doit avoir une permanence. L’enfant a tous les droits sur l’objet. Il l’aime passionnément, et en même temps le maltraite et le mutile. L’objet survit à son agressivité.
Il sera délaissé quand l’enfant en aura progressivement retiré sa signification affective, l’objet s’étant alors répandu sur tout le territoire intermédiaire qui sépare la réalité psychique intérieure du monde extérieur. C’est le territoire de la culture et de la communication, du langage et du jeu, de l’art… L’aire transitionnelle est une zone entre le Moi et le non-Moi : l’objet transitionnel permet le passage dans cette zone. Il est à la fois une projection narcissique et une relation objectale. L’enfant l’aime comme si c’était quelqu’un d’autre et comme si c’était lui.

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Joris-Karl Huysmans

mercredi 26 avril 2017

Dans son exposition Félicia Atkinson nomme une sculpture étagère au statut hybride Là-bas, dont le titre prend pour possible mais non unique référence l’œuvre littéraire de Joris-Karl Huysmans « Là-bas ».

Résumé de  « Là-bas » :
Huysmans est passionné par la démonologie et le surnaturel. Son héros, Durtal, est un historien amené à s’interroger sur la doctrine chrétienne et le satanisme qui abandonne « l’adultère, l’amour, l’ambition, tous les sujets apprivoisés du roman moderne, pour écrire l’histoire de Gilles de Rais. »

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Né en 1848 à Paris, décédé à Paris en 1907.

Écrivain et critique d’art français, Joris-Karl Huysmans, comme Baudelaire, commence des études de droit qu’il abandonne rapidement pour mener une vie de bohème dans le quartier latin à Paris. À partir de 1876, il fréquente l’écrivain Émile Zola et les frères Goncourt. Dans le recueil naturaliste Les soirées de Médan, il publie la nouvelle « Sac au dos » (1880). Puis viennent Les Soeurs Vatard 1879), En ménage (1881) et À vau-l’eau (1882). En 1884, la parution du roman À rebours cause une brouille avec Zola ; Huysmans reconnait bien plus tard qu’il s’agit d’une dénonciation du naturalisme.
Dès 1890, Huysmans s’intéresse au satanisme, comme en témoigne le roman Là-bas (1891) où le personnage Durtal est un adepte de la magie noire. Le livre fait scandale mais les derniers romans de Huysmans révèlent plutôt une évolution vers un catholicisme orthodoxe.

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Source :
https://www.etudes-litteraires.com/huysmans.php

 

Bibliographie Spoken Word

mercredi 26 avril 2017

Toutes les publications de Félicia Atkinson sont disponibles aux éditions Shelter Press et chez les presses du réel.

Animals, Improvising sculpture as delayed fictions, Twenties are gone.

Bibliographie jeunesse

  • Contes amérindiens en bandes dessinées, éd. Petit à petit, 2008
  • La fille qui aimait les chevaux sauvages, Paul Golbe,  Le genévrier éditions
  • Heyo, Christian Offroy,  éd. Couleur corbeau, 2012
  • Cheval vêtu, Fred Bernard & François Roca,  Albin Michel Jeunesse, 2005
  • Ushi, Fred Bernard & François Roca,  Albin Michel Jeunesse, 2000
  • Le Petit Poucet, Warja Lavater,  éd. Maeght
  • Vide le désert ?, Marie-Ange Le Rochais, Archimède, 1999
  • Cactus, Ianna Andréadis,  Petra Ediciones, Mexique, 2005
  • Mon premier livre de contes et comptines, Franciszka Themerson, éd. Mémo, collection des Trois Ourses, 2009
  • Histoire sans parole, Louise-Marie Cumont,  1993, éd. Les Trois Ourses
  • Le Papillon imprimeur,Fanette Mellier,  éd. Du livre, 2016
  • Keith Godard, Sounds, éd. Studio Works, 1992
  • Les Bruits du vent, Katsumi Komagata, One Stroke, Japon, 2004
  • Santa Fruta, L’histoire d’un cactus et d’un chat, Sébastien Mourrain et Delphine Perret,  Les Fourmis rouges, 2016
  • Tout autour, Ilya Green, Didier Jeunesse, 2016

(suite…)

Le New Age

mercredi 26 avril 2017

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Qu’est-ce que la musique New Age?

On l’appelle aussi « musique méditative» ou « musique de l’espace ». Il s’agit généralement de longues compositions instrumentales mélodieuses, souvent électroniques, aux arrangements vocaux rares, et pouvant durer plusieurs dizaines de minutes. Il est toutefois très difficile de circonscrire le genre avec précision, tant ses frontières, notamment avec ce qu’on appelle la « musique d’ambiance » (enregistrements de bruits naturels) ou la musique électronique d’un Vangelis par exemple, sont floues. Le style New Age met à profit aussi bien les résonnances acoustiques que les sons synthétiques les plus pointus. Au centre de sa thématique, la nature, ses beautés originelles, qui jouent un rôle essentiel – sur le plan physique autant que symbolique – dans ce qui est en quelque sorte sa finalité, le repos de l’âme et de l’esprit.
Les sons issus de la nature (murmure de l’eau, bruits d’insectes, souffle du vent, chants d’oiseaux…) sont introduits pour accentuer le côté apaisant de la composition. Que ce soit en musique d’ambiance dans un spa ou en BO dans un film, ses domaines d’utilisation sont aussi divers que nombreux.
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Inspirations musicales

mardi 25 avril 2017

Éric Satie

« La Musique d’ameublement est foncièrement industrielle. L’habitude – l’usage – est de faire de la musique dans des occasions où la musique n’a rien à faire. Là, on joue des Valses, des Fantaisies d’Opéra & autres choses semblables, écrites pour un autre objet. Nous, nous voulons établir une musique faite pour satisfaire les besoins « utiles». L’Art n’entre pas dans ces besoins. La Musique d’ameublement crée de la vibration ; elle n’a pas d’autre but ; elle remplit le même rôle que la lumière, la chaleur et le confort sous toutes ses formes.
Exigez la Musique d’ameublement.
Pas de réunions, d’assemblées, etc. sans Musique d’ameublement.
Pas de mariage sans Musique d’ameublement.
Ne vous endormez pas sans entendre un morceau de Musique d’ameublement, ou vous dormirez mal.» Erik Satie

Alfred-Erik Leslie-Satie
Né à Honfleur en 1866, mort à Paris en 1925.

Compositeur et pianiste français, Eric Satie est associé un temps au symbolisme, il a été reconnu comme contributeur de plusieurs mouvements dont le surréalisme, le minimalisme, la musique répétitive et le théâtre de l’absurde. En 1917, il développe le concept de musique d’ameublement qu’il a appliqué à 5 pièces courtes dont:
– Tapisserie en fer forgé pour l’arrivée des invités (pour flûte, trompette, et cordes)
– Carrelage phonique. Peut se jouer à un déjeuner ou à un mariage civil.
La musique d’ameublement est une musique instrumentale basée sur quelques mesures répétées « à volonté », sans thème, sans développement. Il est une transposition sonore de procédés dérivés des arts plastiques. C’est une tentative de faire de la musique un objet plastique.

 

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Laraaji

« […] La pratique intensive et exclusive d’un instrument, peu importe sa taille, l’écorce dont il est fait ou le nombre de cordes qui traversent son corps, ne permet pas seulement une maîtrise absolue des techniques qui permettent d’en jouer. Elle permet aussi au musicien de connecter – et de chanter – avec l’univers tout entier. Pas besoin de mille effets ou d’un orchestre symphonique. On peut dessiner le cosmos pour les oreilles à toutes les échelles (celle des montagnes ou des arbrisseaux), avec un piano, un synthétiseur monophonique ou, comme Laraaji, une cithare. »
Extrait de l’article Laraaji, les mystérieuses cithares d’or, Olivier Laam, Libération, 5 Mars 2017.

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Né à Philadelphie (U.S.A) en 1943.

Multi – instrumentiste, praticien de musique ambient et new-age, Edward Larry Gordon a étudié la théorie musicale et la composition à l’université de Howard au milieu des années 60. C’est avec la cithare, découverte alors qu’il avait commencé la pratique de la méditation qu’il a trouvé sa vocation de musicien – et d’homme spirituel. Accompagné de son seul instrument fétiche (électrifié pour faciliter l’amplification, éventuellement de quelques effets électroniques, de sa voix et de son corps), Gordon a entamé sa transformation en « Laraaji » (jeu de mot sur son nom, «Larry G.») en improvisant pendant des heures dans des centres holistiques, pour aider les visiteurs à méditer, ou dans les jardins publics pour les badauds. C’est par hasard, un jour qu’il se baladait dans les allées du Washington Square Park de Greenwich Village que Brian Eno le découvrit et eut l’idée de le signer pour le troisième volume de son Ambient Series, Days of Radiance. Laraaji devint du jour au lendemain l’une des figures du genre, aux côtés d’Eno lui-même, Michael Brook ou Harold Budd.

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Robert Ashley

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Né en 1930 dans le Michigan aux Etats-Unis, décédé en 2014.

Robert Ashley est un compositeur américain de musique contemporaine. Disparu en 2014, il laisse derrière lui une oeuvre considérable, dont il fut souvent l’interprète principal. Son instrument de prédilection était sa voix, ou plus précisément, son« spoken word » au débit calme, posé, à l’intonation à mi-chemin entre parole et chant. Avec l’oeuvre posthume Quicksand

( sables mouvants ), cette voix, réduite à un enregistrement, devient l’élément central autour duquel tout s’organise. Ce projet d’ « opéra-roman » a d’abord vu le jour sous la forme inattendue d’un roman d’espionnage écrit par Ashley et publié en 2011. En 2014, sentant sa santé décliner, le compositeur a décidé d’enregistrer sa propre lecture de ce texte et d’en déléguer la réalisation scénique à des collaborateurs et amis de longue date : le compositeur Tom Hamilton – pour le paysage électronique « mouvant » qui accompagne la voix –, le chorégraphe Steve Paxton et le créateur lumières David Moodey. Musique, danse et lumière sont ici trois éléments autonomes (…) À l’un des personnages qui lui demande de quoi traitent ses opéras, le narrateur répond :

« C’est difficile. Je dirais que ce sont des gens qui racontent des histoires ».

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Ariel Kalma

«La première fois que j’ai fait l’expérience d’une musique apte à transformer l’esprit, c’était à un concert des Dagar Brothers. À l’époque, je n’avais pas été encore en Inde. C’est la première fois que j’entendais de la musique verticale, sans changement d’accord, qui propose un autre état d’harmonie avec le corps. Les larmes me sortaient littéralement des yeux. Cela a été une transformation très profonde. C’est pour ça que j’ai été en Inde apprendre les fondamentaux de cette musique. Ensuite il y a eu Shunyata, de l’Allemand Peter Michael Hamel : une ritournelle très simple répétée pendant vingt-cinq minutes. Quand on écoute une mélodie en boucle, quelque chose se passe dans l’esprit et dans le corps, on recalcule les intervalles, et le temps se met à couler à une autre vitesse. J’ai réalisé que le mantra, la répétition d’une syllabe accordée à un certain état d’esprit, peut provoquer des transformations très profondes de l’être.»

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Né à Paris.

Ariel Kalma est un compositeur et musicien français, précurseur de musique électroacoustique planante de type New Age. Il fait des études d’électronique, d’informatique, de musique et d’art, pendant lesquelles il se mêle à plusieurs orchestres. Il voyage ensuite dans le monde entier commençant par l’Europe, le japon, l’Inde, le Canada et les États-Unis. En dehors du Rythmn & Blues, de la pop et du jazz, Ariel Kalma acquiert de l’expérience dans l’électro-acoustique et la musique modale française.
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Source : http://www.ariel-kalma.com/ariel-kalma.htm
http://next.liberation.fr/musique/2015/04/12/ariel-kalma-retour-planant_1239740

Frantz West

mardi 25 avril 2017

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Né en 1947 à Vienne, décédé en 2013 à Vienne.

Sculpteur et artiste conceptuel autrichien, Frantz West est connu pour ses oeuvres publiques colorées et ludiques qui se retrouvent à travers le monde, notamment à Central Park , à New York.
Ses premières oeuvres s’inspirent du mouvement de l’actionnisme viennois du début des années 1970 et sont réalisées en appliquant ou en «adaptant» de nouveaux matériaux aux objets de la vie de tous les jours comme emballer des bouteilles de soda avec de la gaze ou créer de grandes sculptures semblables à des saucisses à base de métal soudéμ. West développe aussi une série d’Adaptatives, objets abstraits en plâtre humoristiques destinés à être portés sur le visage ou autour de la taille. lors de la documenta IX, l’artiste commence Auditorium, sa première installation publique à grande échelle qui présente 72 couches d’acier , de tapis et de mousse dans un parking, attirant l’attention de la critique et du monde de l’art. Des expositions solo ont lieu, entre autres, au MOMA de New York en 1997 et à la Whitechapel gallery de Londres.
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Source : http://www.artnet.fr/artistes/franz-west/2

Phyllida Barlow

mardi 25 avril 2017

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Née en 1944 à Newcastle en Angleterre, vit et travaille à Londres.

Phyllida Barlow est principalement connue pour ses installations sculpturales à grande-échelle qui, dans des matériaux simples tels le carton, le tissu, le polystyrène ou le ciment, remplissent et transforment de vastes espaces.

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source : http://www.lespressesdureel.com/auteur.php?id=1709

Peter Shire

mardi 25 avril 2017

“Ce qui est absurde est mystique, ce qui est stupéfiant, les phénomènes déroutants à l’échelle humaine, ce qui est amusant dans notre façon d’aimer et de haïr les objets industriels…c’est ce qui m’intéresse.”

Peter Shire

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Né en 1947 à Los Angeles, où il vit et travaille.

Depuis les années 1970, Peter Shire travaille à la croisée de l’artisanat, des arts plastiques et du design. Son travail est remarqué par Ettore Sottsass, un des fondateurs de Memphis Group, un mouvement de design international venu de l’Italie pendant les années 1980. Peter Shire est invité à Milan pour travailler avec eux. Les fondateurs de Memphis Group cherchent à relancer le design en rejetant des normes conventionnelles en faveur d’une approche audacieuse, colorée, ludique et expressive du design de produit. Memphis Group est le signe d’un renouveau qui succède à la morosité ambiante issue de la crise économique des années 1970.

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Source : http://www4.ac-nancy-metz.fr/arts-appliques/IMG/pdf/Fiche_informative_Peter_Shire_Bel_AIR-2.pdf