Archive de mars 2017

Arcosanti

samedi 25 mars 2017

Arcosanti est un écovillage et une communauté fondée en 1970 aux États-Unis dans l’État de l’Arizona, à 110 km au nord de Phoenix, plus exactement près de la ville de Mayer, par l’architecte Paolo Soleri suivant ses concepts de l’Arcologie. L’objectif de M. Soleri est de montrer qu’un développement urbain harmonieux peut être compatible avec le respect de l’environnement.

Arcosanti est bâtie sur seulement 10 ha des 1 643 ha de nature que présente le site, gardant ainsi ses habitants tout près des paysages naturels. Le site officiel d’Arcosanti décrit comment les principes de l’Arcologie sont appliqués ici : « Les bâtiments et le vivant interagissent ici comme des organes le feraient chez un être vivant hautement évolué. De nombreux systèmes fonctionnent de concert avec la circulation efficace des personnes et des ressources, les bâtiments multi-usage et l’orientation solaire qui fournit l’éclairage, le chauffage et le refroidissement des habitations. »

La conception initiale d’Arcosanti a changé de nombreuses fois depuis le début des travaux. L’objectif affiché de peuplement se situe entre 3 000 et 5 000 habitants. La population actuelle varie généralement entre 70 et 120. Elle dépend du nombre d’étudiants et de travailleurs internes du moment.

Parmi les bâtiments notables qui existent actuellement à Arcosanti, on trouve un centre d’accueil des visiteurs (qui fait également office de café et de boutique de souvenirs), une abside (un demi dôme) en bronze moulé soigneusement située de manière à capter le maximum de lumière en hiver et le minimum en été, deux voûtes en berceau, une série d’appartements résidentiels disposés autour d’un amphithéâtre extérieur, une piscine publique et la résidence de Paolo Soleri. Le point culminant du complexe est occupé par la « Sky Suite » qui comprend deux chambres disponibles pour les invités désireux de passer la nuit sur place.

 

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Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Arcosanti

Désert de Mojave

jeudi 23 mars 2017

D’une surface d’environ 40 000 km2, le désert de Mojave est situé à cheval sur la Californie, le Nevada et l’Arizona, états à l’ouest des Etats-Unis. Son nom est emprunté à un peuple amérindien, les Mohaves. Ancienne terre de prospection des chercheurs d’or, le désert de Mojave abrite quatre parcs nationaux : Parc national de la vallée de la Mort, parc national de Joshua Tree, Parc national de Zion, parc national du Grand Canyon.

Le désert de Mojave s’étend de Los Angeles jusqu’au Nevada. Il est bordé à l’ouest par la Sierra Nevada et au nord par the Death Valley, la vallée de la Mort, lieu le plus aride des États-Unis.

A l’est du désert se trouvent de nombreux de sites naturels tel que le Grand Canyon ou la Monument Valley située sur les terres des indiens Navajos en Arizona. On y trouve de nombreux pitons rocheux ocre/rouge dressés sur un immense plateau désertique.

Au sud de Mohave, se trouve le Sonora desert qui bénéficie de pluies en hiver. Ces pluies permettent la pousse de plantes et fleurs ainsi que de nombreux cactus. Le désert de Mojave est constitué de sable, de pierres et d’une végétation résistante à la sécheresse. Privée d’eau par la Sierra Nevada, c’est l’un des endroits les plus arides de la planète.

 

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Sources :  http://www.routard.com

 

Jean Dupuy

mercredi 22 mars 2017

Jean Dupuy

Né le 22 novembre 1925 à Moulins, France
Vit et travaille à Nice, France
Représenté par la galerie Loevenbruck, Paris
www.loevenbruck.com

Jean Dupuy naît en 1925 en Auvergne. Après un bref passage à la section architecture de l’Ecole des Beaux-arts de Paris, il se consacre à la peinture, pratiquant une abstraction gestuelle proche des œuvres de Georges Mathieu et de Jean Degottex. Il jette néanmoins la plus grande partie de sa production picturale (issue de l’Abstraction lyrique) dans la Seine : une action qu’il commentera plus tard en deux mots : « Plouf ! Ouf ! ».

En 1968 (soit un an après son arrivée à New York il réalise sa sculpture Cone Pyramid (Heart Beats Dust)  qui s’impose comme l’œuvre emblématique d’EAT (Experiments in Art and Technology). Cette sculpture de poussière, activée par les pulsations cardiaques des spectateurs, est la première rencontre de Jean Dupuy avec l’idée même du collectif mais aussi avec ce qu’il nomme le Lazy Art : l’art paresseux, un art qui consisterait, nous dit-il, à « faire travailler les autres, en grande partie, à sa place ». Il avoue d’ailleurs volontiers la grande part de hasard induite dans son travail.

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Œuvres exposées:

Lazy Susan, 1979
bois, acier, 390 x 210 x 40 cm
courtesy l’artiste, collection Frac Bourgogne

« J’avais, en 1974, construit pour faire une performance, une petite scène en bois, circulaire, de 80 cm de diamètre. Elle était fixée à une planche de 150 cm de long. Cette scène, montée sur un système de roulement à billes qu’on appelle en américain «lazy susan», était rotative. Pour en faire une sculpture, je l’ai suspendue à deux échelles qui avaient servi à faire des performances sur une tour à P.S.One et que j’ai fixé l’une contre l’autre, en haut, ce qui a formé un ensemble inscrit dans un grand triangle. Il touchait presque le plafond, à 3,50 mètres. J’ai ensuite bloqué la roue, encore mobile. Ainsi la scène rotative perdait sa fonction. »
On ne peut plus la faire tourner, mais comme l’explique un texte anagrammatique rédigé par l’artiste, Lazy Suzan tourne encore puisqu’elle suit “paresseusement” la rotation de la terre. Ainsi Lazy Suzan est une œuvre qui signale la parenté d’esprit de Jean Dupuy avec George Maciunas, Jackson Mac Low, George Brecht, Robert Filliou…
Lazy Susan (toiles),1984-1993
acryliques sur toile, 90 x 77 cm, 147 x 124 cm
courtesy l’artiste, collection Frac Bourgogne

« C’est avec ces quatre mots « American venus unique red » inscrits sur un crayon de marque « venus », que j’ai fait une anagramme pour la première fois, à New York, un jour de désœuvrement de 1973. Les 22 lettres d’ « american venus unique red » m’ont donné « univers ardu en mécanique ». En 1979, j’ai inventé un système d’écriture, basé sur un choix de mots qui représentaient des couleurs, pour résoudre des équations de lettres : des anagrammes. Ainsi je revenais à la couleur, après avoir arrêté de peindre en 1966. Je constituais de grandes anagrammes, avec d’ un côté une liste exclusivement composée de noms de couleurs, et de l’autre le récit d’une histoire, ou la description d’un objet. Chacun des deux textes étant rigoureusement composé avec les mêmes lettres que l’autre, ni plus ni moins. Un face à face anagrammatique dont une moitié (la palette) colorait l’autre. Ces équations, résolues empiriquement, me prenaient un temps considérable. Elles m’obligeaient à coiffer les textes de la partie basse de titres souvent abscons. D’autant plus que certaines équations dépassaient le millier de lettres. J’ai alors eu l’idée de remplacer les titres par les notes de la gamme musicale, que j’ai disposées à la fin de chaque texte. Je gagnais à la fois beaucoup de temps, et de liberté dans la rédaction. D’autre part je pouvais, parfois, interpréter, sous forme d’homophonies, les notes musicales (mi mi si la ré : mimi scie la raie, musique cruelle). Puis, pour aller encore plus vite, sous le nom d’emprunt de « Léon bègue » j’ai écrit comme un bègue parle, en doublant, triplant (et plus) les syllabes. C’est à la fin des années 90, finalement, que j’ai trouvé le dernier procédé, c’est-à-dire une simple mise en page : en plaçant les mots de couleurs et les notes musicales de part et d’autre (en haut et en bas) de l’équation de lettres. Je ne vois pas, aujourd’hui, comment je pourrais aller plus vite pour résoudre de telles anagrammes. Par contre, reste pour chaque texte, à trouver le ton pour exprimer ce que je veux dire, ce qui échappe, certes, à toute méthode. »
Jean Dupuy, 2006

 

Le Centre hospitalier Guillaume Régnier en visite à la Criée

mercredi 22 mars 2017

Le 17 janvier dernier les patients et soignants du Pôle G04 du centre hospitalier Guillaume Régnier (CHGR) sont venus découvrir l’exposition « Alors que j’écoutais moi aussi David, Eleanor, Mariana… », accompagnés de l’artiste en résidence Camille Bondon. Après la visite, les personnes en soin ont écrit et dessiné leurs impressions pour le journal de L’Hermine. En voici quelques extraits :

A propos de Thoughts of a dot as it traverses a space (The Attic), le dessin mural de Zin Taylor :

Linda : J’y vois un extraterrestre avec un gros soleil à l’arrière. Une suspension, comme de la décoration mais qui est médiocre. Une plante qui pourrie. De la fumée qui s’étend un peu partout et vient du sol. Un pot d’échappement. Un plat de pâtes. Une motte de beurre. Et l’extraterrestre se dit :« quel bordel sur Terre !!! »

Philippe : C’est bien fait. Quand on rentre dans La Criée on flash dessus. On a l’impression d’être tout petit à coté de cet immense dessin. Il y a un monsieur, un aspirateur, des plantes, un grand soleil, de la fumée… Ça doit raconter une histoire mais je ne sais pas laquelle.

A propos des accompagnants :

Roger : Camille Bondon, c’est notre artiste intervenante qui nous accompagne dans cette visite. Elle est très sympathique. Elle vit sa passion, elle transmet ça très bien et nous donne de l’enthousiasme. Elle sait maintenir le suspense et attirer notre attention. Elle nous entraîne dans son monde.

Carole, c’est une médiatrice de La Criée et qui accompagne aussi l’artiste lors de nos ateliers. Elle aussi nous emmène gentiment dans le monde artistique sans difficultés et en douceur. Elle nous fait participer à la compréhension de l’œuvre, elle nous soutient dans ce qu’on peut en dire. Elle capte notre attention. Grâce à ses commentaires, l’exposition est plus compréhensible et plus intéressante.

Bilan du chantier de fouilles et découverte de la carpologie

mercredi 22 mars 2017

 

Pour cette dernière séance avec l’Inrap, Mélanie Scellier, chargée du développement culturel et de la communication à l’Inrap et Céline, archéologue ont présenté aux enfants le bilan des découvertes effectuées sur le chantier de fouilles de l’Hôtel-Dieu. Les élèves ont constaté que de nouvelles sépultures avaient été découvertes mais également que la domus retrouvée en novembre dernier avait été construite sur les fondations d’une plus ancienne.

Suite à la présentation des avancées du chantier, les intervenantes de l’Inrap ont proposé aux enfants de tourner entre deux activités. Dans le premier groupe, les enfants devaient manipuler et identifier à l’aide d’ouvrage, de véritable vestiges récemment découvert, pendant que dans le second groupe, ils découvraient et pratiquaient la carpologie.

Ainsi, après avoir découvert la céramologie, les enfants de Torigné se sont familiarisés avec une autre discipline de l’archéologie, la carpologie. La carpologie est basé sur l’étude des restes de graines, céréales ou noyaux de fruits conservés dans les sédiments archéologiques. Le travail du carpologue est important car il renseigne les archéologues sur l’alimentation d’une population, son mode de vie mais aussi son environnement.

Au cours de cet atelier, les enfants devaient verser dans un tamis un sachet contenant du sable et diverses graines, les retirer soigneusement à l’aide d’une petite pince, les trier, les identifier puis les décrire. Ils ont ainsi distingué de l’avoine, des noyaux de cerises, de prunes mais aussi des morceaux charbons qu’ils ont ensuite observé au microscope.

 

On déterre les faux ex-voto !

mercredi 22 mars 2017

 

Avant les vacances scolaires de février, les enfants de l’atelier bricolage de Clémence Ambard ont enterré dans le jardin de l’école les faux ex-voto qu’ils ont réalisé et enduit de substances corrosives en atelier avec Clémence Estève. Plus d’un mois après l’enfouissement de ces plaques, les enfants avaient hâte de découvrir l’état de leurs créations. Les enfants ont alors découvert avec surprise que leurs plaques avaient réagi à la corrosion laissant apparaître de nouvelles couleurs !

Dernier atelier pour les CM1 de l’école Torigné

mardi 21 mars 2017

Et voilà, c’est déjà le dernier atelier avec l’artiste pour les Cm1 de l’école élémentaire Torigné!

Durant la matinée du 16 mars, Clémence Estève est revenue avec les enfants sur les visites du chantier de fouilles, les notions apprises et les productions réalisées en atelier pour faire le bilan de sa résidence à l’école. Elle a ensuite expliqué aux enfants le fonctionnement d’une exposition (préparation, accrochage, restitution…) et présenté le lieu dans lequel elle va exposer les œuvres produites collectivement : l’Hôtel Pasteur.

L’exposition qui va conclure le projet de transmission et de création Remise en jeu aura lieu entre le 7 et le 23 avril au 2ème étage de l’Hôtel Pasteur. Le vernissage de l’exposition se déroulera le jeudi 6 avril à partir de 17h30. En espérant  vous y voir nombreux!

 

Le pêle-mêle d' »Alors que j’écoutais moi aussi… », une fabrique à histoires

mardi 21 mars 2017

Le pêle-mêle est un activateur de rencontre avec les œuvres.

C’est une série d’outils pédagogiques et ludiques conçus spécifiquement pour chacune des expositions.

Le pêle-mêle agrandit le regard et donne la parole. Il met en jeu et tire le fil du récit, qu’il s’agisse d’anecdotes, d’histoire de l’art, d’étapes de fabrication et production des œuvres, de ressentis ou d’histoires secrètes.

Dans le cadre de la première exposition du cycle « Alors que j’écoutais moi aussi… », le pêle-mêle part du principe que toutes les histoires de toutes les œuvres de l’exposition sont en présence et n’attendent que d’être racontées. Il se présente sous la forme d’un jeu de cartes composé de trois types de cartes : personnages, actions et lieux. Chaque carte réfère à des informations constituantes de l’œuvre. Certains de ces éléments sont visibles dans l’exposition et d’autres appartiennent à la genèse des œuvres (éléments biographiques, anecdotes, références artistiques, littéraires ou historiques..).

  • Les cartes « Personnages »

Chacun des 14 artistes de l’exposition est désigné par son prénom : David, Eleanor, Mariana, Delia, Genk, Jean, Mark, Pierre, Shima, Simon, Zin et Virginie et incarné par une carte « Personnage ».

Chaque personnage est doté d’un titre en relation avec sa production artistique : l’informaticien, la photographe, l’archéologue, la musicienne, les jardiniers, le scientifique, etc…

Comme tous les héros, leurs sont attribués des caractères spécifiques : l’une est fascinée par l’électronique, aime les sons et travaille à la radio ; un autre chasse un animal rouge, raconte une histoire et part à l’aventure.

Ces données sont autant d’indices pour une découverte intimiste des artistes et des œuvres.

  • Les cartes « Actions »

Ces cartes décrivent par une série de verbes d’actions ce que font les « artistes à l’œuvre »  : fabriquer un nouveau disque, dessiner avec un feutre, chanter « Maman les p’tits bateaux », cacher un objet, affronter un préjugé, découvrir un coquillage …

Chaque carte incite à regarder les œuvres pour y lire une information parfois évidente, parfois cachée ou suggérée.

  • Les cartes « Lieux »

Les lieux proposés par les cartes sont fictifs, autobiographiques ou réels. Ce sont des éléments de contextualisation des œuvres : dans un dessin animé, sur une barque au milieu de l’océan, etc.

Cette carte « Lieu » aide à situer et découvrir une œuvre autant qu’elle devient l’élément d’un potentiel nouveau récit.

 

Les règles du jeu:

Ce jeu de cartes est tout à la fois un jeu de piste et une fabrique d’histoires.

Ces cartes permettent de créer des récits à l’infini autour de la structure narrative : » un récit = l’articulation d’un personnage d’une action et d’un lieu ».

Par conséquent, il n’ y a pas de règles du jeu. Les règles du jeu sont libres, adaptables et sont toutes à inventer.

Quelques exemples de consignes :

  • Retrouver l’œuvre de Pierre à partir de ces trois cartes. (identification, association)
  • Raconter l’œuvre de Pierre à partir de ce que vous voyez et des éléments de votre choix présents sur ces trois cartes. (description, imagination, association..)
  • Piocher trois cartes, une carte Personnage, une carte Action, une carte Lieu : raconter l’histoire que vous y trouvez. cette histoire correspond-t-elle à une œuvre de l’exposition?
  •  …

 

Dernière séance pour les enfants de Pléchâtel

mardi 14 mars 2017

C’est la dernière journée du projet pour les enfants de GS/CP de Pléchâtel !

A cette occasion, la cabane-sténopé a été remonté et les enfants ont expérimenté l’ensemble des techniques pour la dernière fois.

Par groupe de 4, les enfants ont tourné entre trois activités :

  • La cabane-sténopé, dans laquelle ils ont photographié ce qu’ils observaient depuis la cabane en grand format 50/40cm.
  • Le sténopé multi-trous, où ils ont mis en pratique cette technique utilisée par Estelle Chaigne dans son travail.
  • Les boîtes-sténopés envoyées et revenues du Cambodge.

En parallèle, les enfants se sont regroupés à tour de rôle dans le laboratoire photo afin de développer toutes leurs expérimentations !

Rendez-vous pour la restitution de l’ensemble de leurs travaux le Vendredi 24 mars prochain à 16h45 à l’école Saint-Michel de Pléchatel !

« Mais oui, un trou = une image ! « 

lundi 13 mars 2017

Lors de cette 5ème session, les enfants de l’école de Pléchâtel ont débuté leur journée par la découverte d’une autre facette du travail d’Estelle Chaigne : le processus de multi-trous utilisé par l’artiste, où « un trou = une image ».

Le reste de la matinée s’est déroulé en 4 nouvelles activités.

Tout d’abord, les enfants ont commenté seul ou ensemble les images revenues du Cambodge à l’aide d’un enregistreur. Imaginez à quoi ressemble cette image en écoutant leurs commentaires ici:

Une autre activité a consisté à légender les photographies argentiques prises la semaine passée dans la cour de l’école.

La troisième, à expérimenter la technique du multi-trou dans la cabane grâce à un carton pré-percé par Estelle. Au fur et à mesure, les enfants retiraient les scotchs recouvrant les ouvertures jusqu’à voir une multitude d’images de leur école se répéter.

Enfin, après avoir regardé toutes les photographies faites dans la cabane la dernière fois, la matinée s’est terminée par la mise en pratique de la technique du multi-trou avec un grand sténopé en chêne construit par Estelle. C’est sous le décompte des enfants qu’une grande photographie multi-trous de l’école a été réalisée:

« 1, 2, 3 Sténopé ! »