Archive de mars 2014

Taysir Batniji, Sans titre (extrait de la série Gaza, la ville), 1999-2006

lundi 31 mars 2014


Né en 1966 à Gaza, Palestine
Vit et travaille à Paris, France
Taysir Batniji est représenté en France par la galerie Eric Dupont, Paris

Taysir Batniji a étudié les Beaux-Arts en Palestine, puis en France. Peintre de formation, il développe une pratique pluridisciplinaire : peintures, assemblages d’objets, installations, photographies, vidéos, performances. Mais il est souvent présenté comme photographe ou vidéaste. « Je cherche un langage artistique qui corresponde à ma manière de vivre, au fait que je circule tout le temps, et qui reflète aussi la situation des Palestiniens aujourd’hui, entre présence et non-présence, entre déplacement et urgence ». « J’essaie dans mon travail d’interroger le contexte politique, social, culturel, les réalités de mon pays, tout en conservant une distance nécessaire face à l’actualité. Car il s’agit pour moi avant tout d’un engagement artistique, d’un regard personnel, subjectif, poétique.  »
Taysir Batniji


The sky over Gaza, 2001-2004
Diptyque photographique, 72 x 100 cm chaque
Production La Criée centre d’art contemporain
Courtesy galerie Eric Dupont, Paris

Deux photographies, la première a été prise en 2001 et constitue l’objet de l’installation « The Sky Over Gaza » conçue pour l’exposition « A Need of Realism » au centre d’art contemporain Ujazowski Castel de Varsovie (Pologne, 2002). La deuxième a été prise, par hasard, au même endroit, en 2004, avec un cadrage presque identique. Proposées sous forme d’un diptyque, ces photographies révèlent alors une dimension temporelle nouvelle, une récurrence familière. Extraite de sa présentation initiale, l’image adopte un sens nouveau, et cela à l’infini. Elle est donc considérée comme un document modulable.

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Sans titre (Gaza, la ville), 1999-2006
Série d’environ 25 photographies, tirage lambda, dimensions variables
(3 photographies de la série sont présentées dans Les Horizons)
Courtesy galerie Eric Dupont, Paris

« Photographier Gaza a toujours été important à mes yeux. Cela m’aide à enregistrer mon quotidien, comme d’autres rédigeraient un journal intime, ou peut-être même, inconsciemment, à résister à l’usure continue de la ville en en établissant, à l’occasion de chacun de mes passages, une sorte d’inventaire. Le fait d’être né à Gaza nourrit certainement ma fascination pour ce lieu, mais il y a d’autres raisons, que je ne saurais préciser, qui ne seraient pas explicables selon les critères esthétiques que l’on peut attribuer à une ville. Gaza n’est pas une « belle ville ». C’est un endroit où, de par sa situation politique, démographique (la plus grande densité de population mondiale), et sa constitution physique, urbaine ou sociale, il est difficile, voire impossible d’être seul ou de profiter d’un peu d’intimité, où l’on est sans arrêt traqué par les regards des autres, sujet de leur curiosité… C’est aussi un endroit où l’on peut vivre de manière tout à fait improvisée, souvent parce que ce n’est pas possible autrement, ou où l’on peut se trouver confronté à des situations complètement inattendues… ».
Taysir Batniji

Scoli Acosta, …War is over, if you want it…, 2009

lundi 31 mars 2014

…war is over, if you want it…, 2009
Pentagone en bois, cinq paires de chaussures,
Courtesy galerie Laurent Godin, Paris


Scoli Acosta est né en 1973 à Los Angeles (CA), USA
Vit et travaille à Los Angeles (CA), USA
Scoli Acosta est représenté en France par la galerie Laurent Godin, Paris

Adepte du détournement, Scoli Acosta s’empare de la réalité et se l’approprie pour la faire entrer dans son imaginaire créatif. «J’essaie d’adhérer à une esthétique de la débrouillardise, c’est-à-dire le recyclage, la remise en état, la réadaptation et la reproduction d’objets du quotidien et d’objets trouvés. Cette approche repose sur la nécessité de réduire, réutiliser et recycler (pour le bien de la planète), tout comme celle d’isoler et sublimer la poésie du quotidien.» Les œuvres de Scoli Acosta portent l’empreinte du territoire américain, la richesse de ses contradictions et des utopies qu’il incarne.


Dans …War is over, if you want it…, c’est l’énergie de la marche qui est présente. Cette pièce fait partie de Levitating the Pentagone, un ensemble de dessins et sculptures s’inspirant de la marche vers le Pentagone de 1967 organisée par Alan Ginsberg en protestation contre la guerre du Vietnam, lors de laquelle un groupe de hippies chanta pour tenter de faire léviter le Pentagone et l’exorciser. Le Pentagone, symbole mythique dans l’histoire américaine, est une forme récurrente dans le travail de Scoli Acosta. Élément d’architecture, symbole du pouvoir, référence à la géométrie sacrée, le pentagone est ici entremêlé avec les chaussures, qui le rehaussent du sol, comme une évocation de la magie de la marche.

Les Frères Ripoulain, Chemins du désir, 2013-2014

lundi 31 mars 2014

Chemins du désir, 2013-2014

(Enquêtes piétons, vidéo d’intervention, photographies de veille urbaine, croquis préparatoires sérigraphiés)
Production La Criée centre d’art contemporain
Courtesy des artistes

Les Frères Ripoulain, duo fondé à Rennes en 2006
David Renault, Né à Rennes en 1979
Vit et travaille à Rennes

Matthieu Tremblin, Né au Mans en 1980
Vit et travaille en Arles

Sous le pseudonyme des Frères Ripoulain, Matthieu Tremblin et David Renault développent leur pratique principalement dans l’espace public. À la limite du licite parfois, le duo investit la ville et ses recoins invisibles au moyen « de protocoles d’action urbaine autour des notions de contrefaçon, d’abandon et de dégradation, d’expression autonome et spontanée, de langage cryptique et de désobéissance civile. »

Les Frères Ripoulain présentent à la Criée, les Chemins du désir.

En architecture, la notion de chemin du désir ou ligne du désir désigne des chemins tracés dans les espaces verts à mesure du passage des habitants qui dessinent leur trajet quotidien, comme un déterminisme résistant à la rigueur de la carte tracée par l’urbaniste. Il arrive parfois que ces chemins, après avoir été adjoints au cadastre lorsqu’ils perdurent pendant plusieurs années, deviennent des chemins réguliers, pris en considération par les services de l’urbanisme ou de la voirie
et soient ainsi officialisés par une couche de gravier.

Julien Berthier, A Lost, 2011 et série de dessin 2004-2010

lundi 31 mars 2014

A LOST, 2011
Bâche publicitaire, 80 x 200 cm,
photographie couleur, 55 x 69 cm
Courtesy Galerie GP & N Vallois, Paris

Série de dessins:

Récolter les traces d’une manifestation, 2010
Encre sur papier, 21 x 29,7 cm
Collection privée, courtesy galerie GP et N Vallois, Paris

Structure toit immeuble 2, 2007
Encre sur papier, 21 x 29,7 cm
Collection privée, courtesy galerie GP et N Vallois, Paris

Tracer à main levée et de la main gauche les plans d’un building, 2005
Encre sur papier, 21 x 29,7 cm
Collection privée, courtesy galerie GP et N Vallois, Paris

Encore un nuage à l’envers, 2014
Encre sur papier, 21 x 29,7 cm
Courtesy galerie GP et N Vallois, Paris

 

Larissa Fassler, Hallesches Tor, 2005

lundi 31 mars 2014

Hallesches Tor, 2005
Bois, métal, réveil, son, 200 x 110 x 60 cm
Courtesy galerie Jérôme Poggi, Paris

Née en 1975 à Vancouver, Canada.
Larissa Fassler vit et travaille à Berlin, Allemagne.
Elle est représentée en France par la galerie Jérôme Poggi, Paris.

Le travail de Larissa Fassler entretient un rapport évident avec l’urbanisme et l’architecture. À travers l’utilisation de divers médiums (dessins, sculptures, installations), l’artiste questionne la place de l’homme dans l’environnement urbain et les constructions qui lui sont propres : stations de métro, galeries souterraines, couloirs. L’artiste montre principalement des lieux de passage, des espaces qui déterminent nos mouvements et déplacements dans la ville. À l’aide de relevés topographiques qu’elle réalise elle-même, en utilisant parfois son propre corps comme instrument de mesure, Larissa Fassler crée des « sculptures-maquettes » de grandes dimensions comme des anatomies de l’espace urbain.

Hallesches Tor est une maquette d’un passage qui relie les stations de métro du réseau berlinois. Ici, l’espace urbain est souterrain. Le sol est creusé : les différents couloirs apparaissent en positif, laissant voir une strate habituellement invisible.

Le tunnel, et le trafic humain qu’il évoque, sont transformés en un objet sculptural. A chaque extrémité du tunnel, une horloge digitale annonce les arrivées et départs des métros. De l’intérieur du tunnel émanent différents sons : la musique continue des musiciens de rues qui jouent dans le métro, ainsi que les pas des usagers.

Józef Robakowski, The Market,1970

lundi 31 mars 2014

The Market (Rynek, titre original), 1970
Film 35 mm transféré sur DV, 4’20’’
Courtesy de l’artiste et Wro Art Center, Wroclaw


Né en 1939 à Poznan, Pologne.
Vit et travaille à Łódź, Pologne.

Dans les années 1960-70, Józef Robakowski est un des

pionniers de l’art vidéo et du cinéma expérimental en Pologne. Outre la réalisation de films, il produit également des séries de photographies, des installations, des dessins et des œuvres conceptuelles.
Il fut à l’origine de différents collectifs artistiques dont « Workshop of Film Form », qu’il fonda en 1970. Ce studio est à l’origine de films structuralistes et de vidéos expérimentales.
Il est aujourd’hui professeur à l’école nationale supérieure de cinéma, télévision et théâtre de Łódź, et théoricien du cinéma.

The Market est le premier film réalisé par le Film Form studio. Il a été tourné à Łódź, entre 7h du matin et 16h, sur une place animée. On y voit un marché et le mouvement de la foule allant et venant au cours de la journée.
Robakowski modifie le nombre d’images par seconde qui est utilisé dans le cinéma pour reproduire un mouvement au plus proche de la réalité (24 images par seconde). Le rapport choisi par l’artiste pour The Market (2 images toutes les 5 secondes) donne une impression de réalité différente, accélérée.
À travers cette vidéo, Robakowski montre que l’illusion de réalité créée par le cinéma est le produit d’une technologie. Si celle-ci est modifiée, le résultat perd sans doute en réalisme mais voit son pouvoir d’évocation augmenté: la ville bat le rythme tel un métronome, les passants se déplacent et se regroupent comme des fourmis dans une fourmilière.

Blaise Drummond, peintures, 2004-2011

vendredi 28 mars 2014

Né en 1967 à Liverpool, Royaume-Uni
Vit et travaille à Dublin, Irlande
Blaise Drummond est représenté en France par la galerie Loevenbruck, Paris

On retrouve dans les peintures de Blaise Drummond des thèmes et motifs récurrents. L’homme figuré ou représenté par une construction architecturale, fait face à un environnement naturel évoqué subtilement par la présence d’un arbre, de feuilles mortes, ou d’un nuage, mais dont la présence est toujours très prégnante. Ces différents éléments semblent être les personnages d’une histoire en suspens : que s’est-il passé ou que va-t-il se passé?

L’artiste nourrit un intérêt fort pour l’architecture moderniste et l’idéologie utopique qui l’accompagne. Il intègre dans ses paysages des constructions d’architectes tels que Le Corbusier, Mies Van Der Rohe, Alvar Aalto ou Carlos Raul Villanueva.

Avec la représentation de ces grands ensembles, l’artiste interroge l’impact de l’activité humaine sur la nature, toujours prête à reprendre ses droits.

 

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Colors for a Large Wall (Caracas), 2011

Huile et collage sur toile, 190 x 270 cm

Courtesy galerie Loevenbruck, Paris

Colors for a Large Wall (Caracas) est une représentation de l’ensemble de logements El Paraiso, construit à Caracas entre 1952 et 1954 par l’un des plus grands architectes modernes du Venezuela, Carlos Raul Villanueva (1900-1975).

Les couleurs en damier sur la façade sont dérivées de l’œuvre Color for a large wall réalisée en 1951 par le peintre abstrait américain Ellworth Kelly (né en 1923), qui explore la peinture comme élément architectural.

Entre la branche qui surgit dans le cadre et l’imposant édifice, l’homme qui promène son chien semble minuscule, insignifiant.

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Gewaltige Raume Unerschlossenen Landes, 2007

Huile et collage sur toile, 167 x 214 cm

Collection Musée des Beaux-Arts de Nantes

La peinture Gewaltige Raume Unerschlossenen Landes rend hommage à Le Corbusier et sa célèbre Unité d’habitation (Cité radieuse) réalisée à Marseille en 1952. On y voit l’imposante architecture sur laquelle plane un nuage.

Sur la façade est écrit une phrase de Blaise Drummond: « Sometimes I have this dream where we discover these extra rooms in our house, like a secret wing. They are pretty dilapidated but have a great potential for a sort of restoration extension project”.

(Parfois je fais ce rêve où l’on découvre ces chambres supplémentaires dans notre maison, comme une aile secrète. Elles sont assez délabrées mais ont un grand potentiel pour une sorte de projet de restauration et d’agrandissement). Cette phrase fait écho à un rêve de l’artiste, au moment de la restauration d’une petite chaumière en Irlande, qui est ici mis en regard avec l’utopie moderniste des unités d’habitation de Le Corbusier.

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Feel Better, 2004,

Huile et Glycéro sur toile, 167 x 142 cm

Collection particulière, France. Courtesy galerie Loevenbruck, Paris

Dans Feel Better, Drummond confronte la nature, représentée par des éléments paysagers japonisants et l’architecture du Sanatorium de Paimio, en Finlande, conçu par l’architecte et designer moderne Alvar Aalto en 1928-33.

Au début des années 1960, Alto imagine pour le sanatorium des logements de fonctions pour les chercheurs et personnels soignants, dans une aile indépendante.

L’utopie moderniste du fonctionnalisme défini en rupture avec les arts décoratifs, est ici mise en jeu; les bâtiments deviennent de purs motifs picturaux et graphiques, associés aux éléments de la nature toujours très présents.

Bertrand Lamarche, Le Haut du lièvre,2012

vendredi 28 mars 2014


Le Haut du Lièvre, 2012
Maquette – LED, synthétiseur midi, matériaux divers, 480 x 65 x 16 cm
Courtesy Galerie Jérôme Poggi, Paris

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Né en 1966 à Paris.
Vit et travaille à Paris.
Bertrand Lamarche est représenté en France par la galerie Jérôme Poggi, Paris.

Bertrand Lamarche mène un travail où se mélangent différents univers : la science-fiction, le cinéma, l’urbanisme, la météorologie, une inspiration pour la ville de Nancy récurrente, une passion pour Kate Bush… Le temps et les échelles s’y étirent créant des espaces en suspension entre rêve et réalité, science-fiction et réalisme, mélancolie et utopie.

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Avec Le Haut du lièvre, Bertrand Lamarche modélise à l’exacte échelle H.O (1/87) – échelle utilisée pour la modélisation des trains électriques- une des plus grandes barre d’habitation issue de l’architecture moderniste : le Cèdre Bleu, construite en 1959, sur le site du haut du lièvre dans la banlieue proche de Nancy. Ce bâtiment de 400m de long, dessiné par Bernard Zherfuss en 1959, abritait 1000 appartements. En 2010, 250 m furent rasés dans le cadre d’une réhabilitation architecturale. L’objet semble en lévitation, relique anachronique d’une utopie socialiste portée en son temps par l’architecture moderniste. Avec son esthétique propre aux bâtiments d’après-guerre, cette maquette nous projette dans un univers proche de la science-fiction : vaisseau suspendu, animée d’une vie interne qui s’exprime çà et là par quelques lumières mystérieuses.

« Cette barre n’a jamais réussi à s’ancrer dans le sol, je la figure comme un vaisseau : après son échec, elle se taille dans le cosmos »

À propos des lumières : « Quand le soir tombe, l’humanité réapparait, c’est ça qui est beau dans la modernité »
Bertrand Lamarche

Le Haut du Lièvre, 2012 Maquette - LED, synthétiseur midi, matériaux divers, 480 x 65 x 16 cm Courtesy Galerie Jérôme Poggi, Paris

Le Haut du Lièvre, 2012
Maquette – LED, synthétiseur midi, matériaux divers, 480 x 65 x 16 cm
Courtesy Galerie Jérôme Poggi, Paris

Ann Veronica Janssens, Oscar, 2009

vendredi 28 mars 2014

Oscar, 2009

Vidéo couleur, HDV, 12’08’’

Courtesy de l’artiste

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Née en 1956 à Folkestone, Royaume-Uni, Ann Veronica Janssens vit et travaille à Bruxelles.

Elles est représentée en France par la galerie Kamel Mennour, Paris

Les œuvres d’Ann Veronica Janssens invitent le public à vivre une expérience sensorielle, physique de ses matériaux de prédilections, à savoir la lumière, les couleurs, l’insaisissable. Elle s’intéresse à l’interaction entre le corps et l’espace, et à la perception de l’espace et du mouvement. Le spectateur participe donc à ses installations et peut alors percevoir ce qui ne peut être habituellement visible.

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Lors de son passage au Brésil, l’artiste réalise un portrait silencieux de l’architecte Oscar Niemeyer. Dans un plan fixe, on y voit l’homme fumer un cigarillo.

On remarque qu’un des seuls éléments en mouvement dans le champ de la caméra est la fumée qui se disperse lentement dans le bureau de l’architecte. On retrouve alors ce matériau, impalpable, cher à Ann Veronica Janssens.

Elle rend hommage ici à l’un des plus grands architectes du XXe siècle. Symbole de l’architecture moderniste, il est l’auteur d’un très grand nombre de grands ensembles (entre autres la ville de Brasilia au Brésil, la Foire internationale de Tripoli au Liban, plusieurs universités en Algérie, le siège du Parti communiste à Paris,…). Déjà centenaire lorsque la vidéo a été tournée, il apparaît lui-même comme un monument, une sculpture dont le visage aurait été creusé par le temps. Calme et serein, une forte aura se dégage de sa présence.

Oscar

Bibliographie jeunesse, Les Horizons

vendredi 28 mars 2014

Pop ville
Auteur:Joy Sorman
Illustrateurs: Anouk Boisrobert et Louis Rigaud
Editeur: Hélium, 10/2009
Thème: livre pop-up, construction de la ville

Più o meno
Auteur, Illustrateur: Bruno Munari
72 cartes sur transparents superposables
Édition Corraini, Italie, réédition, 2008 (1ère édition chez Danese en 1970)
thèmes: livre objet, livre jeu stimulant l’imagination et les capacités de récit, la ville, la campagne, les saisons, déplacement…

New York en pyjamarama
Auteurs : Frédérique Bertrand,Michaël Leblond
Illustrateurs : Frédérique Bertrand,Michaël Leblond
Editeur : Rouergue , Octobre 2011
Album à partir de 3 ans
Thèmes : Ville, Fantaisie, Rêve, New-York, Livre animé

Mamoko, 50 histoires dans la ville
Auteurs : Aleksandra Mizielinska,Daniel Mizielinski
Illustrateurs : Aleksandra Mizielinska,Daniel Mizielinski
Editeur : Didier Jeunesse , Octobre 2011
Thèmes : Jeux/Jouet, Ville, Humour

Les Maisons
Auteur, illustrateur: fräneck
Editeur: Ion édition, 2014
Thèmes: maison, jeu de construction, univers graphique

Le Livre du printemps
Auteur : Rotraut Susanne Berner
Illustrateur : Rotraut Susanne Berner
Editeur : La Joie de Lire
Collection : Livre promenade, Avril 2004
Album à partir de 2 ans
Thème : ville, chemin, Saison

Labyrinthes
Auteur: Yoan Pommaux
Editeur: éditions du conseil général de la Mayenne, jeux d’artiste, 1000 ex.
Jeu constitué de 12 cartes de 18 x 12 cm, pelliculées, sous coffret .
Thèmes: surprises architecturales, fil d’ Ariane, 479 001 600 possibilités de chemins, personnages de la mythologie

La rumeur de Venise
Auteurs : Germano Zullo,Albertine
Illustrateur : Albertine
Editeur : La Joie de Lire, Mars 2008
Thèmes: ville, ballade, rumeur

Fenêtres sur rue
Auteur, illustrateur: Pascal Rabate
Editeur: Soleil édition, 2013
Thèmes: histoires de rue, livre objet sans parole, la ville le jour, la ville la nuit

Dans le brouillard de Milan
Auteur : Bruno Munari
Illustrateur : Bruno Munari
Traducteur : Marc Voline
Editeur : Seuil Jeunesse

365 contes en ville
Auteur : Muriel Bloch
Illustrateur : Ricardo Mosner
Editeur : Gallimard Jeunesse
Collection : Giboulées , Avril 2006
Conte à partir de 10 ans
Thèmes : Conte, Ville

Toutes les maisons sont dans la nature
Auteur: Didier Cornille
Editeur: Hélium, avril 2012
Album à partir de 7ans
Thèmes: 10 maisons emblématiques de l’architecture moderne, matériaux de construction